YouTuber apprend les inconvénients du voyage en moto électrique à la dure

YouTuber apprend les inconvénients du voyage en moto électrique à la dure

Faire la navette sur une moto électrique comporte ses propres pièges. Cependant, la ville agit comme un refuge pour les cavaliers oublieux. Avec des bornes de recharge et, dans le pire des cas, des transports en commun facilement accessibles, les navetteurs peuvent toujours contourner les obstacles à la mobilité électrique.

Ce n’est pas le cas lorsque vous voyagez sur une moto électrique, surtout lorsque vous essayez de faire le tour du monde. YouTuber Marc Travels en sait autant, et sa dernière vidéo capture les inconvénients et les inconvénients de faire le tour du monde sur une moto électrique. Après avoir traversé le Royaume-Uni, le créateur de contenu a gravi les Alpes et est descendu en Italie.

Trois mois seulement après le début de son voyage autour du monde, Marc continue d’apprendre chaque jour qui passe. Cela inclut certaines des dures leçons de la route. Le matin de son départ pour Pise, en Italie, Marc se rend compte qu’il a oublié de brancher sa Zero SR/F pendant la nuit. L’erreur mineure oblige le YouTuber à chercher une borne de recharge avant de se lancer dans son road trip.

Cet arrêt au stand avant le vol illustre rapidement l’incohérence du réseau de recharge électrique. Marc rencontre d’abord une borne hors service avant d’atteindre une autre borne de recharge qui ne se connecte pas correctement à sa moto. La troisième fois est un charme, cependant, car le Zero se couple enfin avec un chargeur Enel X.

Une fois que le créateur de la vidéo s’est mis en route pour sa destination, une autre bizarrerie de la mobilité électrique fait son apparition : l’autonomie. Lent et régulier gagne la course en matière d’électricité, mais incline la plage de zap, peu importe. Marc apprend cela alors qu’il monte un col de montagne escarpé. Cependant, tout ce qui monte doit redescendre et Marc retrouve de l’autonomie sur le déclin, à hauteur de 255 km (158,5 milles).

Bien sûr, avec moins de 50 % de charge restante et une autonomie maximale de 300 km (187 milles), il est impossible que le SR/F atteigne 255 km. C’est à moins que Marc continue à descendre jusqu’à ce qu’il atteigne le niveau de la mer. Et c’est là que réside le dernier problème des déplacements en e-mobilité : les estimations fluctuantes de l’autonomie. Après tout, les circonstances passées et présentes ne déterminent pas les futures habitudes de conduite ou les environnements.

Marc rencontrera sans aucun doute ces désagréments tout au long de son voyage, mais comme ces estimations d’autonomie en fonction des circonstances, nous sommes sûrs qu’il s’adaptera en cours de route.